Les prêtres sont disponibles pour le sacrement de réconciliation pendant les temps d’adoration après les eucharisties de semaine ou en les contactant pour fixer une rencontre à un autre moment (cf. menu "Contacts) .  

Venez (re)découvrir le sacrement où la joie de vivre et la joie de connaître Jésus se font sentir profondément...
Le saviez-vous? Dans le catéchisme, le sacrement de la réconciliation est mis (avec l'onction des malades) sous le titre: "Les sacrements de guérison".   Des milliers de personnes pourraient témoigner que la confession de leurs actes mauvais et l'absolution du prêtre a été un moment libérateur dans leur vie, un moment de guérison intense, à partir duquel il n'ont plus jamais fait marche arrière.  L'absolution est un don de Dieu, un don où les liens avec le mal sont rompus.

 Il ne faut pas toujours se confesser. Ce sacrement a été institué pour les actes les plus graves, qui rompent la communion avec Dieu et l'Eglise.  "Tout acte sincère de culte ou de piété ravive en nous l’esprit de conversion et de pénitence et contribue au pardon de nos péchés" (Catéchisme, n°1437).
Le pardon de Dieu est toujours possible si nous faisons une démarche vraiment sincère, en demandant à Dieu de pouvoir vaincre nos peurs et nos hontes face à ce sacrement. En se reconnaissant pécheur, nous croyons que l'Amour infini de Dieu sera toujours le plus fort.

 " Ceux qui s’approchent du sacrement de pénitence y reçoivent de la miséricorde de Dieu le pardon de l’offense qu’ils Lui ont faite et du même coup sont réconciliés avec l’Église que leur péché a blessée et qui, par la charité, l’exemple, les prières, travaille à leur conversion " (Vatican II).

Le dialogue avec un prêtre est le signe efficace de la réconciliation avec Dieu et avec nos frères. Le pardon de Dieu est exprimé par le prêtre, qui agit au Nom de Jésus-Christ. On se confesse habituellement au moins une fois par mois, ou au besoin. 

Lectures du jour

  • Première lecture : « Voici mon bien-aimé qui vient. Il bondit sur les montagnes » (Ct 2, 8-14)
  • Première lecture : « Le roi d’Israël, le Seigneur, est en toi » (So 3, 14-18a)
  • Psaume (Ps 32 (33), 2-3, 11-12, 20-21)
  • Évangile : « D’où m’est-il donné que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ? » (Lc 1, 39-45)

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